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Le canal du Mozambique, un laboratoire naturel pour étudier l’évolution géologique et environnementale de l’Est de l’Afrique : premiers retours sur l’expédition SEZAM

Séparant Madagascar du continent africain, le canal du Mozambique a enregistré dans ses sédiments les traces de l’histoire géologique complexe de cette partie de l’océan Indien. À bord du navire océanographique Marion Dufresne, des scientifiques de l’Ifremer, du CNRS et de l’Université de Bretagne Occidentale ont exploré la partie centrale du canal en juin 2024 et découvert dans la partie profonde de ce bassin océanique non seulement des épaisseurs de sédiments insoupçonnées mais également plusieurs nouveaux monts sous-marins. Ces premières observations invitent à préciser certains détails de l’histoire tectonique, sismique, climatique et environnementale de l’océan Indien de ces derniers millions d’années. 
La campagne SEZAM a permis de cartographier la partie centrale du Canal du Mozambique, où s’accumulent les sédiments apportés par le Zambèze et d’autres fleuves du Mozambique et de Madagascar.

Communiqués de presse

Tous les communiqués
Tous les communiqués
Dossier

L’Ifremer et la Décennie des sciences océaniques

Lancée en 2021 par les Nations-Unies, la Décennie des sciences océaniques au service du développement durable a pour ambition de catalyser les efforts à l'échelle mondiale afin de mieux protéger l…
L’Ifremer, chef de file d’un programme majeur de la Décennie et de 4 projets scientifiques labellisés sur l’océan profond
Le Pourquoi pas ? à gauche et à droite, en face, un Iceberg, vue de la mer du coté droit du navire Mobiliser la communauté scientifique française
Dossier

Comment se portent les populations de poissons pêchées en France en 2023 ?

L’amélioration de leur état écologique depuis les années 2000 se confirme-t-elle encore cette année ? Quelles sont les espèces « en bon état » ? Lesquelles a contrario sont surexploitées ? Toutes ces…
Navire en pleine mer qui remorque un chalut de fond.
Evolution de l’état des populations de poissons exploitées en France hexagonale entre 2000 et 2022. Bilan 2023 en France hexagonale : 56 % des volumes de poissons débarqués en 2022 proviennent de populations exploitées durablement. Une très légère progression.
Lors des campagnes d’évaluation des populations de poissons, des scientifiques mesurent la taille et pèsent les poissons prélevés. Une amélioration au ralenti, un renouvellement des populations de poissons adultes fragilisé
Dossier

Une ébullition de projets pour le climat

A l’heure où la COP 28 bat le rappel de l’urgence climatique auprès de la communauté internationale, l’Ifremer souligne une fois encore que la lutte contre l’accélération du changement climatique ne…
Plongée d'évaluation de la mortalité des peuplements de gorgones pourpres (Paramuricea clavata)
Plongée d'évaluation de la mortalité des peuplements de gorgones pourpres (Paramuricea clavata) L’Océan : un thermostat qui s’emballe
Banc de poissons entourant un flotteur ARVOR Observer les évolutions du profil physico-chimique de l’océan
Dossier

De la côte au large, quel est l’état du milieu marin dans l’Hexagone ?

Pour évaluer l’état de santé du milieu marin, l’Ifremer surveille différentes pressions subies par les écosystèmes, de la prolifération d’algues à la pêche, de la contamination chimique aux déchets…
les scientifiques de l’Ifremer assurent un suivi des écosystèmes et des pressions qui s’y exercent
les scientifiques de l’Ifremer assurent un suivi des écosystèmes et des pressions qui s’y exercent Évaluer l’état de santé du milieu marin pour mieux le préserver
La microalgue Lepidodinium chlorophylium provoque une coloration verte de l'eau en baie de Vilaine Comprendre la prolifération d’algues, de la côte au large
Dossier

Comment se portent les populations de poissons pêchées en France en 2022 ?

L’amélioration de leur état écologique depuis les années 2000 se confirme-t-elle encore cette année ? Quelles sont les espèces « en bon état » ? Lesquelles a contrario sont surexploitées ? Au-delà de…
Conférence de presse Comment vont les poissons 2023
Plusieurs personnes autour de nombreuses caisses de pêche empilées Bilan 2022 en France hexagonale : la moitié des volumes de poissons pêchés provient de populations exploitées durablement
Une scientifique du système d’information halieutique (SIH) opéré par l’Ifremer rencontre des pêcheurs afin de récolter des données sur les espèces et les volumes qu’ils exploitent Outre-mer : un état des populations de poissons souvent mal connu
Dossier

Comment vont les poissons en Europe ?

À l’occasion de la Présidence française du Conseil de l’Union européenne, l’Ifremer, en partenariat avec le Pôle halieutique, mer et littoral de l’Institut Agro, l’Institut flamand de recherche pour l…
Bateau de pêche
Tri de la pêche sur le Notre Dame De La Garde II, projet Obsmer Compter les poissons : une opération complexe pour les scientifiques européens
Évolution des populations de poissons en Europe sur les dernières années Bilan 2022 : la surpêche recule mais l’objectif de 100% de poissons issus de populations exploitées durablement n’est pas atteint
Dossier

Comment vont les poissons en France en 2021 ?

À travers ses activités de recherche, d’avis et d’expertise, l'Ifremer a pour mission de connaître l’état et de comprendre l’évolution des populations de poissons pour assurer le maintien de la…
Dossier

Surveiller la Méditerranée pour mieux la préserver

Petite par la taille – elle occupe moins de 1 % de la surface maritime du globe - la Méditerranée est au confluent de grands enjeux environnementaux et socio-économiques. Ce trésor de biodiversité…
Forte artificialisation de la côte, trafic maritime intense, tourisme massif… La Méditerranée subit de fortes pressions anthropiques
Tous les 3 ans, les scientifiques prennent la mer pour aller mesurer la contamination chimique dans les eaux côtières françaises de Méditerranée depuis la frontière espagnole jusqu’à la frontière italienne en passant par la Corse Alliés pour mieux détecter la contamination
Lors des campagnes de surveillance de la contamination chimique tous les 3 ans, les plongeurs disséminent environ 250 poches de moules dans les eaux côtières françaises de Méditerranée. Ces coquillages « sentinelles » s’imprègnent ainsi de leur environnement chimique pendant 2 à 3 mois Des contaminants pistés à la trace
Dossier

Comment vont les poissons en France en 2020 ?

Comment se portent les populations de poissons pêchées en France en 2020 ? Leur démographie est-elle au beau fixe ou au contraire au creux de la vague ? Le renouvellement des générations de poissons…
Mise en œuvre du chalut sur le navire océanographique Thalassa
Les chiffres 2020 : plus de la moitié des volumes de poissons pêchés provient de populations exploitées durablement
Mise à l'eau d'un chalut à perche dans le golfe du Lion depuis le navire océanographique L'Europe, lors de la campagne scientifique NOURMED 2019 Tendance : une amélioration qui reste insuffisante
Dossier

Pour un littoral mieux préservé et restauré

Alors que l’été aimante vers le littoral une foule férue de tous les plaisirs de la mer, qu’en est-il de la santé du milieu marin côtier ? Évolue-t-elle en eaux troubles ou au contraire dans des eaux…
Surveiller le littoral
Plage de Dunkerque Enjeux de surveillance et d’observation du littoral
Récupération d'une station artificielle de moules à bord du navire océanographique Téthys II Surveillance des contaminations chimiques

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Derniers dossiers de l'Ifremer

L’Ifremer et la Décennie des sciences océaniques
Lancée en 2021 par les Nations-Unies, la Décennie des sciences océaniques au service du développement durable a pour ambition de catalyser les efforts à l'échelle mondiale afin de mieux protéger l'océan et les populations qui en dépendent, et d’atteindre les objectifs de développement durable à l'horizon 2030, notamment l’objectif 14 sur la conservation de la vie aquatique. Un effort mondial qui implique scientifiques, décideurs politiques, ONG et autres parties prenantes. La communauté internationale est ainsi mobilisée pour développer les connaissances scientifiques et mieux partager cette connaissance dans le monde entier. Cela passe par une coopération renforcée entre les organismes de recherche, le secteur privé, les institutions politiques et le grand public. Car chacun a son rôle pour transformer positivement les interactions entre l'humanité et l'océan.
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Comment se portent les populations de poissons pêchées en France en 2023 ?
L’amélioration de leur état écologique depuis les années 2000 se confirme-t-elle encore cette année ? Quelles sont les espèces « en bon état » ? Lesquelles a contrario sont surexploitées ? Toutes ces questions sont autant d’enjeux majeurs pour la France, troisième pays de l’Union européenne en termes de volume de poissons capturés, derrière le Danemark et l’Espagne. Comme chaque année, les scientifiques de l'Ifremer y répondent en fournissant des diagnostics qui permettent de dresser un bilan annuel de l’état des principales populations pêchées en France hexagonale.  
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Une ébullition de projets pour le climat
A l’heure où la COP 28 bat le rappel de l’urgence climatique auprès de la communauté internationale, l’Ifremer souligne une fois encore que la lutte contre l’accélération du changement climatique ne peut se faire sans placer l’océan au cœur du débat. Les scientifiques de l’Ifremer répondent par une montée en puissance de leurs recherches sur le climat, des abysses à la surface et de la côte au large.
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De la côte au large, quel est l’état du milieu marin dans l’Hexagone ?
Pour évaluer l’état de santé du milieu marin, l’Ifremer surveille différentes pressions subies par les écosystèmes, de la prolifération d’algues à la pêche, de la contamination chimique aux déchets marins.
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