Pollution & contamination
Données marquantes
Chiffre clé
80 %
de la contamination du milieu marin vient de la terre
Carte
À l'Ifremer sur le sujet
Unités de recherche & Délégations
Unité EMMA
Unité BIODIVENV
Unité PHYTOX
Infrastructures de recherche
La plateforme mollusques marins de Bouin
Le site expérimental de Plouzané
La Plateforme expérimentale de Polynésie française
Les installations expérimentales de Nouvelle-Calédonie
Le site expérimental d’Argenton
Vos questions, nos réponses
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On sait que les herbicides peuvent tuer les plantes aquatiques et le phytoplancton, mais aussi perturber des animaux ! Les chercheurs de l’Ifremer ont par exemple mis en évidence la toxicité du diuron - un herbicide - sur le génome des embryons d’huîtres creuses. Le travail est encore vaste pour appréhender les conséquences sur la reproduction, le comportement, la longévité des organismes marins.
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En mer, le plastique peut se fragmenter en microparticules (même lorsqu’il est conçu pour résister à la dégradation biologique !). Les déchets et les microplastiques qui arrivent en mer se déplacent avec les courants. Ils flottent en surface, s’accumulent sur les plages ou sur les fonds. Leurs effets sur l’environnement sont conséquents : les animaux marins s’y emmêlent, certaines espèces les avalent, etc. L’Ifremer assure la surveillance des microplastiques et déchets sur les fonds, étudie leurs impacts sur la biodiversité et fournit les données nécessaires aux plans d’actions des pouvoirs publics (nationaux ou internationaux). L’institut effectue aussi des recherches pour mieux comprendre comment ces microplastiques arrivent du continent et leur impact sur la biodiversité marine.