La NOAA et l’Ifremer renouvellent leur protocole de coopération en sciences océaniques
De gauche à droite : Steve Thur, directeur de la recherche de NOAA (agence nationale pour l’océan et l’atmosphère des Etats-Unis d’Amérique), Vincent Guérend, Ambassadeur de France en Irlande, et François Houllier, Président-directeur général de l’Ifremer.
Crédit : Ifremer
« La science, comme l’océan, ne connait pas de frontière. Nous travaillons chaque jour main dans la main avec nos partenaires internationaux pour mieux comprendre et préserver l’océan mondial. La NOAA est l’un des grands partenaires de l'Ifremer depuis 1970. Par ce protocole d’accord aujourd’hui renouvelé, nos deux organismes s’engagent à renforcer plus encore nos interactions, favoriser les co-publications et la mobilité de nos scientifiques », a déclaré François Houllier, Président-directeur général de l’Ifremer.
« Aujourd'hui, alors que nous célébrons le Jour de l'Indépendance des États-Unis, nous sommes ravis de marquer le partenariat franco-américain en renouvelant le protocole de coopération entre la NOAA et l'Ifremer. Ensemble, la NOAA et l'Ifremer s'efforcent de rassembler les données scientifiques dont nous avons besoin pour l'océan que nous voulons, en soutenant à la fois des initiatives nationales et des efforts de recherche et d'innovation océaniques de premier plan sur la scène mondiale. Je me réjouis des cinq prochaines années et de l'orientation de nos travaux dans le cadre de ce protocole de coopération afin de mieux refléter nos priorités et activités actuelles », a déclaré à cette occasion Steve Thur, administrateur adjoint de la NOAA chargé de la recherche.
« Aujourd'hui, alors que nous célébrons le Jour de l'Indépendance des États-Unis, nous sommes ravis de marquer le partenariat franco-américain en renouvelant le protocole de coopération entre la NOAA et l'Ifremer. Ensemble, la NOAA et l'Ifremer s'efforcent de rassembler les données scientifiques dont nous avons besoin pour l'océan que nous voulons, en soutenant à la fois des initiatives nationales et des efforts de recherche et d'innovation océaniques de premier plan sur la scène mondiale. Je me réjouis des cinq prochaines années et de l'orientation de nos travaux dans le cadre de ce protocole de coopération afin de mieux refléter nos priorités et activités actuelles », a déclaré à cette occasion Steve Thur, administrateur adjoint de la NOAA chargé de la recherche.
Les représentants des deux organismes ont inscrit à leur agenda une prochaine rencontre en 2024 pour discuter de leurs ambitions de collaboration respectives, notamment sur trois sujets essentiels : les écosystèmes marins côtiers, les sciences du climat et les systèmes d’observation océaniques, et enfin l’exploration des océans. Il s’agira aussi d’améliorer la coordination des plannings de campagnes en mer de la Flotte océanographique française et de la NOAA pour permettre un meilleur partage des données récoltées, ainsi qu’une mutualisation des navires et des infrastructures de recherche, lorsque cela sera opportun. Suite au déploiement du navire océanographique américain Okeanos dans le Pacifique, la possibilité de nouvelles collaborations entre l’Ifremer et la NOAA sera aussi au menu des discussions.
De nouvelles pistes de collaboration seront aussi explorées dans le contexte du changement climatique, notamment pour étudier plus finement les cyclones tropicaux et mieux modéliser les vagues. Les deux organismes partageront enfin leurs bonnes pratiques pour diminuer l’impact carbone de leurs recherches et de leurs observations.
Les représentants des deux organismes ont inscrit à leur agenda une prochaine rencontre en 2024 pour discuter de leurs ambitions de collaboration respectives, notamment sur trois sujets essentiels : les écosystèmes marins côtiers, les sciences du climat et les systèmes d’observation océaniques, et enfin l’exploration des océans. Il s’agira aussi d’améliorer la coordination des plannings de campagnes en mer de la Flotte océanographique française et de la NOAA pour permettre un meilleur partage des données récoltées, ainsi qu’une mutualisation des navires et des infrastructures de recherche, lorsque cela sera opportun. Suite au déploiement du navire océanographique américain Okeanos dans le Pacifique, la possibilité de nouvelles collaborations entre l’Ifremer et la NOAA sera aussi au menu des discussions.
De nouvelles pistes de collaboration seront aussi explorées dans le contexte du changement climatique, notamment pour étudier plus finement les cyclones tropicaux et mieux modéliser les vagues. Les deux organismes partageront enfin leurs bonnes pratiques pour diminuer l’impact carbone de leurs recherches et de leurs observations.
