Avec l’Ifremer, les scientifiques embarquent dans la course !
Peut-on encore manger du poisson ? Quelles ressources cachent les fonds de nos océans ? Le changement climatique ou la pollution plastique auront-ils raison de la biodiversité marine ? Les scientifiques de l’Ifremer répondront à toutes ces questions au long de la prochaine édition du Vendée Globe via des articles, des podcasts, des vidéos.
Ces actions de vulgarisation s’inscrivent dans la continuité des suivis scientifiques initiés depuis 20 ans avec les champions de la course au large, notamment dans la classe de voiliers IMOCA, qui contribuent à la collecte de données en mer, sous la coordination d’OceanOps. Température, salinité, teneur en CO2 ou en micro-plastiques… Les mesures qu’ils peuvent faire à bord sont précieuses car ils se rendent dans des zones peu explorées, notamment lors du Vendée Globe. En plus de capteurs de mesure en continu, les navigateurs contribuent à déployer des flotteurs scientifiques dans ces zones océaniques désertiques, participant ainsi au réseau Argo qui donne des informations instantanées sur l’état de l’océan en 4000 points répartis autour de la planète. L’Ifremer innove enfin pour développer de nouveaux capteurs à moindre coût ou pour tester des matériaux biosourcés dans la construction des voiliers.
La protection des océans est l’affaire des tous, des scientifiques, des skippers, des organisateurs de course. C'est pourquoi nous travaillons main dans la main pour vous partager tous les secrets de l'océan, afin de mieux le comprendre pour mieux le protéger.
La 10e édition du Vendée Globe compte l'Ifremer parmi ses partenaires.